Je ne connaissais pas l’angoisse de la page blanche. Et puis un jour, plus rien. Même pas envie de m’asseoir devant ma table de travail. Le carnet de notes en moleskine noire reste désespérément fermé. Le stylo immobile sur l’agenda.
Je veux retrouver des automatismes. La routine, c’est le secret, la régularité, nécessaire. J’allume l’ordinateur. Je m’interdis d’aller sur les réseaux sociaux avant d’avoir écrit au moins deux pages. Non, une. Il ne faut pas aller trop vite. Ces derniers temps, je me suis laissé happer par twitter. Un bon moyen d’écouter le bruit du monde, ses soubresauts et ses colères. Chronophage. Très chronophage. Source d’inspiration aussi. Peut-être.
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